Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Robert Papin : mon blog aux entrepreneurs

  • Conférence La Stratégie gagnante du créateur d'entreprise au Salon des micro-entreprises

    Chers internautes,

    Cette année à nouveau, j’aurai le plaisir d’animer une conférence au Salon des micro-entreprises qui se tiendra du 12 au 14 octobre au Palais des Congrès de la Porte Maillot. http://www.salonmicroentreprises.com/

    itwpapin salon micro-entreprises.jpgAussi j'espère avoir le plaisir de vous retrouver à cette conférence intitulée « Créateurs d'entreprise : La stratégie gagnante du créateur d'entreprise » le mardi 13 octobre de 10h à 11h15. Cette conférence sera l'occasion de faire un tour d’horizon complet des aspects de la création pour réduire les risques et construire votre réussite : le profil du créateur, la validation de l’idée, le business plan, le marketing, quelques règles juridiques, fiscales et sociales.

    Pour recevoir votre pass d'accès gratuit au salon, rendez-vous sur  ou sur le site du salon.

    En attendant, vous trouverez quelques conseils aux créateurs d'entreprise dans mon interview réalisée sur l'édition précédente du salon.

     

  • Conférence sur l'Art de Diriger au Mémorial de Caen, organisée par la CCI

    J'ai eu le plaisir d'intervenir le 23 septembre à la demande de la CCI au Mémorial de Caen pour une conférence sur l'Art de Diriger.

    La CCI a très gentiment reproduit le script de ma conférence dont vous trouverez les premières minutes ci-après et l'intégralité de mon intervention en téléchargement. Je vous invite à réagir en publiant un commentaire et aurais le plaisir d'y répondre.

    Lire la suite

  • Combien vaut mon entreprise ?

    Des milliers de dirigeants, parvenus à l’âge de 60 ans ou 65 ans, se posent aujourd’hui cette question… hélas un peu tardivement. Ceci permet de comprendre pourquoi tant d’entreprises ne trouvent pas d’acquéreurs et pourquoi tant d’entre elles vont inexorablement au dépôt de bilan.

    Les patrons ont en effet tendance à refuser de céder leur entreprise à un montant inférieur à la somme des capitaux qu’ils ont apportés pour la créer et des bénéfices qu’ils ont laissés dans l’affaire pour lui permettre de s’autofinancer. Le total du capital social et des bénéfices mis en réserve correspond à ce que nous appelons, dans notre jargon, les capitaux propres. Ce montant correspond également à la différence entre le total des actifs de l’entreprise et le total de ses dettes et c’est pourquoi nous parlons d’actif net. Si le total des actifs figurant au bilan est de 3 millions d’euros  et le total des dettes de 2 millions, l’actif net sera de 1 million et c’est ce montant qui sera considéré comme valeur minimum par le vendeur.

    Lire la suite

  • De la formation : de la responsabilité des parents et des étudiants

    Voici maintenant plus de 40 ans, un académicien, nommé Pierre Gaxotte, rédigeait un petit conte intitulé « Le conte du plombier ». Dans ce conte, un vieux plombier suggère à son fils de prendre sa relève plutôt que de choisir la médecine.

    « Fiston, je sais compter. Dans un appartement, il y a 2 baignoires, 2 chauffe eau, 1 évier, 4 lavabos, 15 robinets, 12 radiateurs, 1 bidet, 43 coudes et 86 mètres de tuyauterie. Tout ça contre deux ou trois paires d’amygdales. De nos jours, mon fils, on voit à la ville 800 élèves médecins pour 30 apprentis charpentiers, 300 futurs dentistes en face de 12 aspirants couvreurs et 500 étudiants en droit et pharmacie devant 25 en sanitaire. Ainsi soignée, examinée, vaccinée, auscultée et sulfamidée, l’humanité de demain ne sera plus souffrante. Mais les siphons des vidanges, longtemps négligés, seront presque tous détraqués. Il y aura plus d’avenir pour toi, mon fils, dans les chasses d’eau que dans les intestins grêles. N’embrasse pas de carrière sans réfléchir à ces choses…Et le plombier de rêver à un avenir rempli de rose. Tandis que les médecins en seront réduits à passer des annonces dans les journaux pour offrir des guérisons à forfait, des traitements à crédit, des ristournes aux clients fidèles… le plombier, homme désiré, travailleur en blouse blanche, voit chaque jour ses gains grossir et son prestige grandir… Il ne fait plus que des débouchages : un simple bout de fil est dans sa trousse et il se nomme en toute simplicité, syphonocurateur… »


    Moralité : il n’existe pas de sot métiers et Gaxotte était un visionnaire.

    Lire la suite

  • Mon conseil de management aux entrepreneurs : pour mobiliser vos collaborateurs, maîtrisez l'art de négocier (Suite 5)

    Pour mieux maîtriser votre affectivité ...

    Dites-vous que votre principal ennemi c'est vous-même. Si vous cédez à la colère, à l'agressivité, à la peur ou au sentiment d'impuissance, vous oublierez les objectifs que vous vous étiez fixés, vous oublierez également ceux de votre interlocuteur et vous dresserez une barrière quasi imperméable à la communication.

    Pour vous sortir de ce piège et prendre le recul nécessaire :

    • Ne considérez pas la personne en face de vous comme votre adversaire si elle adopte une position différente de la vôtre. Les divergences profondes sont en effet très rares avant que les sentiments ne se mêlent de la discussion.
    • Ne vous laissez pas "piéger" par votre obstination. Dites-vous qu'une situation conflictuelle est toujours une source potentielle d'idées profitables. Un conflit du travail vous donnera par exemple la possibilité de mieux percevoir les motivations profondes de vos subordonnés, ce qui vous permettra par conséquent d'envisager des mesures qui répondront à leurs motivations et déboucheront sur un accroissement de leur productivité.
    • Vous éprouverez parfois le sentiment d'être totalement acculé au pied du mur par un adversaire redoutable. Dites-vous alors que si vous ne pouvez plus reculez il ne vous reste plus qu'une seule solution : avancer ! Vous pouvez simuler la colère pour déstabiliser la personne avec laquelle vous négociez  mais une telle solution constitue nécessairement un pis-aller. Choisissez plutôt de reprendre votre souffle puis d'utiliser ces "pourquoi ?" qui amèneront cette personne à préciser son point de vue. Peut-être alors de nouveaux "couloirs de négociation" apparaîtront-ils. Si cette technique ne marche pas, demandez une suspension de séance et choisissez parmi les prétextes qui sont à votre disposition : la pause lavabo, la pause café, la nécessité de consulter vos collaborateurs...

    Lire la suite